Kasserine
Invitation ( Journée protection civile )
Informations générales :
Année : 2022
Lieu : Kasserine
Date : 01/03/2022
Plus de détails :
Dans le cadre de ce café dialogue destiné aux activités en kasserine “la société Civile et les médias “.
Ce café dialogue était animé par Sonia Samaali la coordinatrice au Kasserine et Imed Tarchi Mourakiboun ; c’était une occasion d’échange sur la proposition d’amendement du décret-loi 2011-88 portant sur l’organisation des associations.
- Présentation sur les textes concernant la modification de décret des associations en Tunisie
voir lien ci-dessous “Partager avec les participants”
https://drive.google.com/drive/folders/14uJd8B9gctXCa2Y9U3WaES2pYkjo3elN?usp=sharing
Parmi les invités:
- Mme. Marwa Salhi : la coordinatrice régionale du bureau Mourakiboun.
- Mme. Fathia Nasri la représentante d’association Tigar
- M.Karim Tarchi I Watch “ coordinateur régional”
- M.Aymen Zorgui le président d’association تصحيح المسار
les interventions
- Intervention 1 : Association Tigar Citoyenneté Paritaire Kasserine “جمعية مواطنة متناصفة”
Le 24 février 2022, Kais Saied a annoncé vouloir interdire les financements étrangers à destination des associations. Selon lui, les associations qui perçoivent ce type de fonds mènent des “activités suspectes et [sont] une prolongation des partis politiques”.
Il y a quelques mois déjà, un projet de loi visant à remplacer le décret-loi 88 adopté le 24 septembre 2011 et qui “porte sur l’organisation des associations” a fuité.
“Clairement, l’un des enjeux de ce nouveau projet tend à renforcer le contrôle sur la société civile, en remettant en cause les acquis démocratiques. La société civile”, commente Mme Fathia Nasri, la présidente d’association Tigar . “C’est une menace pour la liberté des associations”.
- Intervention 2 : Monsieur Karim tarchi coordinateur régional I Watch kasserine .
Commenter le coordinateur I Watch Kasserine, Ce projet de réforme du décret-loi n° 2011-88 du 24 septembre 2011, portant sur l’organisation des associations, qui a récemment fuité, semble témoigner d’une volonté des autorités tunisiennes de se doter d’outils juridiques pour contrôler et éventuellement museler la société civile, ce d’autant plus qu’il intervient dans un climat de recrudescence des attaques à l’encontre des défenseurs des droits humains dans le pays et en l’absence de tout dialogue entre les autorités en place et les acteurs de la société civile.
Réactions des jeunes???
– Des campagnes de sensibilisation Anti -shrink
lancement d’une campagne nationale de plaidoyer sur le loi n° 2011-88 du 24 septembre 2011.